Claude, Henri and Jean Lhermitte (15 results)

Couverture souple. Condition: Très bon. Edition originale. Grand in-octavo broché, 177-272 pages. Cette revue fondée par A. Antheaume était dirigée par Henri Claude et Jean Lhermitte. Très nombreuses planches hors-texte en héliogravure et figures in-texte. Henri Claude & Jean Lhermitte & Henri Baruk : Pathologie de la pré-sénilité. Syndrome catatonique avec négativisme unilatéral - Ludo van Bogaert & J. Sweerts et L. Bauwens : Sur l'idiotie amaurotique du type Warren-Tay-Sachs - A. Kreindler et A. Bruch - Jean Lhermitte & O. Trelles : La rigidité musculaire des artéro-scléreux.

Couverture rigide. Condition: bon. R200031026: 1937. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 309 pages. Plats jaspés. Nombreuses photos en noir et blanc. . . . Classification Dewey : 619.89-Psychiatrie.

Condition: VG. Paris 1928 G. Doin. In French. Sm.4to., 500pp., photo illustrations, rebound in 1/2 leather with marbled boards. VG.

Couverture rigide. Condition: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 500 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : AUSTREGESILO (de Rio de Janeiro) : La contracture de l'hémiplégie dite capsulaire est pyramido-extra-pyramidale - MAURICE DIDE : L'automatisme psychopathique est une résultante et non une cause - JEAN LHERMITTE : Les idées nouvelles sur la génèse de l'hémiplégie transitoire et du ramollissement cérébral - ANDRE-THOMAS : Nécologie de Augusta Déjerine-Klumpke - PAPASTRATIGAKIS (d'Athènes) : Hystérie et syndrome extra-pyramidaux - JEAN LHERMITTE : Le syndrome du corps de Luys - EGAS MONIZ & ALMEIDA LIMA (de Lisbonne) : L'encéphalographie artérielle et le diagnostic d'une tumeur - FEDELE NEGRO : Le phénomène de la "Roue Dentée" - RENE PORAK : Du rôle de l'affectivité dans l'hyperthermie neuro-motrice - HENRI CLAUDE & PAUL SCHIFF : Le délire d'interprétation à base affective de Kretschmer - JEAN LHERMITTE & YVES DUPONT : Sur la cataplexie et plus spécialement sur la cataplexie du réveil - GACKEBOUCH : La réflexothérapie - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre.

Couverture souple. Condition: Très bon. Edition originale. Paris 2009. 1 Volume/1. -- Broché collé . Format 23,5 x 15,6 cm ( 494 gr ). ------- . 336 pages. ********************* 4ème de Couverture : "" « Le surréalisme sans la peinture » : ainsi s'intitulait, en 1973, une exposition de Marcel Mariën. Et c'est dans un esprit similaire qu on lira le titre du présent recueil. Car d'architecture surréaliste, il n'en est pas, ou si peu que le sujet serait vite clos. Paradoxalement, c'est peut-être pourtant par cette absence même que le surréalisme trouve sa place en architecture. Fervents promoteurs de l'imagination contre le réel, de la révolte contre l'édification, les surréalistes n'en auront pas moins, par leurs élaborations imaginaires, posé un horizon qui, a posteriori, apparaît comme le négatif parfait du modernisme architectural. Ils auront encore, par leur regard électif, établi une sorte de contre-tradition architecturale, mais remonte aussi bien plus loin dans le passé. Le poids de cette tradition, l'élan vers cette utopie auront ainsi fondé une véritable exigence architecturale, qui devait, accompagner la progressive sortie de l'architecture des canons modernistes. Accueillant architectes, littéraires comme historiens de l art, ce volume aborde aussi bien l approche surréaliste de l architecture proprement dite (par Breton, Tzara, Bataille ) que la présence de l architecture dans la littérature ou la peinture (De Chirico, Gracq, Magritte, Malkine, Mandiargues ), voire au cinéma, sans oublier les projets architecturaux en tant que tels (Matta, Kiesler, Marcel Jean, Doumayrou ). Attentif à l architecture vue par les surréalistes, il s arrête enfin sur l héritage du mouvement au c ur de l architecture, jusqu aux perspectives les plus contemporaines (Internationale Situationniste, Tschumi, Spuybroek ). "" *********************** ref.

Couverture rigide. Condition: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 629 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : ANTHEAUME : Centenaire de Jean-Martin CHARCOT - CONSTANTIN VON MONAKOW : Sur les connexions du corps strié et du noyau lenticulaire avec les autres parties du cerveau - A. ANTHEAUME : La légende de la kleptomanie affection mentale fictive au point de vue médico-légal : Comment on peut faire disparaitre a Paris les vols a l'étalage dans les grands magasins - HENRI CLAUDE & GILBERT ROBIn : Sur une nouvelle forme de puérilisme mental le puérilisme schizomaniaque - P. SCHIFF : La psychanalyse au point de vue médico-légal - JEAN LHERMITTE : L'inhibition nerveuse et la mort par inhibition - L. MARCHAND : Tumeur du corps calleux a symptomatologie comitiale - HENRI CLAUDE & MARCEL MONTASSUT : La compensation idéo-affective - ROGER MIGNOT & EMILE ADAM : Contribution à la thérapeutique de la psychose périodique - DAVIDENCOFF (de Moscou) : Les études sur la contracture précoce et sur la rigidité décérébrée chez l'homme dans la littérature médicale russe contemporaine le syndrome hormétonique - LANGELAAN (de Baarn en Hollande) : Le tonus musculaire et le réflexe tendineux - MARINESCO & DRAGANESCO & STOICESCO : Sur une variété spéciale de paraplégie spasmodique familiale caractérisée par des crises paroxystiques d'hypertonie, probablement d'origine extra-pyarmidale - JEAN LHERMITTE & M. NICOLAS : Les amyotrophies de la main chez le viellard - A. REPOND : De l'influence de la menstruation sur les symptômes des psychoses - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940.

Couverture rigide. Condition: Bon. Edition originale. In-8° relié VI-551 pages Contient : Wilson, S. A. Kinnier. Sur quelques questions de pathogénie, de diagnostic et de physiologie pathologique à propos de la dégénération lenticulaire progressive, Chatelin, Ch. Les tumeurs cérébrales, Claude, H. L'hypertension intracranienne et les méningites séreuses, Roussy, G. Les troubles sensitifs d'origine cérébrale, Guillain, G. Les lésions traumatiques de la moelle épinière, Lhermitte, J. L'encéphalite léthargique, Souques, A. Lésions et causes de la paralysie agitante.

Couverture rigide. Condition: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 803 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : JEAN LHERMITTE & J. O. TRELLES : Sur l'apraxie pure constructive les troubles de la pensée spatiale - BARAHONA FERNANDES & FERNANDO FERREIRA : La catatonie expérimentale par la bulbocapnine - HENRI CLAUDE & HENRI EY : Les états hallucinatoires à type schizophrénique de l'encéphalite épidémique chroniques et le problème des hallucinations - ANDRE-THOMAS & L. CHAUSSEBLANCHE : Un cas de névrite hypertrophique et progressive de l'enfance (maladie de Déjerine et Sottas) - HALBERSTADT : La paraphrénie hallucinatoire - AUSTREGESILO & A. BORGES FORTES : La sclérose en plaques de forme subiague - SARADJICHVILI : Une forme clinique particulière de l'hypercinésie chez l'enfant - ODOBESCO & VASILESO (de Bucarest) : Encéphalite hémorragique chez une épileptique tuberculeuse - Deux récension critiques d'articles de Jacques Lacan - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre.

Couverture rigide. Condition: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 360 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : HENRI CLAUDE & JEAN LHERMITTE : Le ramollissement traumatique de la moelle - LOUIS MENCIERE : Paralysie flasque du membre supérieur - ANDRE BARBE : Les dessins stéréotypés d'un catatonique - HENRI CLAUDE & JEAN LHERMITTE : Leucoencéphalite subaiguë à foyers successifs - ANTHEAUME & TREPSAT : Sur un cas de délire de persécution disparu au bout de trois ans - ERNEST DUPRE & L. TREPSAT : La technique de la méthode psychoanalytique - PIERRE QUERCY : Langage et poésie d'un aliéné - ANDRE-THOMAS : Etude de la sueur dans les tumeurs de la moelle - sueur encéphalique et sueur spinale - GEORGES HEUYER & MAXIME LAIGNEL-LAVASTINE : Anomalies morphologiques chez un débile mental pervers et alcoolique - PIERRE QUERCY : Sur le diagnostic et la fréquence des hallucinations auditives verbales - - - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre, dans lequel il rend un vibrant hommage à son maître Henri Claude, décédé le 29 novembre 1945, à l'âge de 76 ans, non sans avoir rappelé brièvement l'histoire de la revue " La revue L'Encéphale comptait, à partir du 20 décembre 1906, trois directeurs : Antheaume, F. Raymond et Henri Claude. Directeurs de la publication de 1946 à 1973, J. Lhermitte et J. Delay sont rejoints en 1950 par H. Baruk et J. de Ajuriaguerra, comme rédacteurs, et par P. Pichot en qualité de secrétaire.

Couverture rigide. Condition: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 420 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : HENRI CLAUDE & A. LAMACHE & J. DUBAR : tension rétinienne et tension du liquide céphalo-rachidien - NATHAN : La sensibilisation dans la diathèse et dans les psychoses émotives - NICOLESCO : Quelle est la relation qui existe entre le système de la sensibilité proprioceptive et l'ataxie ? - VICTOR BRAILOVSKY : Stupeur traumatique, éthérisation, guérison : états stuporeux - JULES DEREUX : L'onanisme fantôme - Nécrologie d'EMILE KRAEPELIN - CHARLES FOIX & JULIEN MARIE : La sclérose cérébrale centro-lombaire à tendance symétrique - ACHILLE-DELMAS : La psychose hallucinatoire chronique d'involution - HENRI CLAUDE & JEAN CUEL : La meïopragie cérébrale par angiosclérose précoce sans ischémie en foyer - PRUSSAK : Sur la perméabilité de la barrière nerveuse centrale dans les maladies mentales et nerveuses - J. TINEL : Etudes sur le pouls cérébral - JEAN LHERMITTE & MAURICE NICOLAS : La myélite zostérienne la téphromyélite aigue de l'herpes zoster - L. VEILLET : Le délire de la folie d'autrui - ANDRE CEILLIER : Recherches sur l'automatisme psychique de Clérambault - Nécrologie de CHARLES FOIX - GILBERT ROBIN & MICHEL CENAC : Fugues et amnésie d'origine urémique - P. CLERC & J. PICARD : Sur trois cas de guérison de délires interprétatifs - PAPASTRATIGAKIS : Narcolepsie post-commotionnelle tradive - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay.

Couverture rigide. Condition: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 444 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : CONSTANZA PASCAL & ANDREE DESCHAMPS : Exploration pharmacodynamique de la motricité des déments précoces - - NOICA : Perte des mouvements de dextérité (A-Dixio-Akinésie) dans un cas de lésion du lobe pariéto-occipital gauche - EGAS MONIZ & ROMAO LOFF & LUIS PACHECO (de Lisbonne) : Sur le diagnostic de la cysticercose cérébrale - JACQUES DE MASSARY : L'aléxie - EUGENE CARP : La psychologie du dégout - HENRI CLAUDE & JEAN LHERMITTE & HENRI BARUK : Pathologie de la pré-sénilité - A. KREINDLER & A. BRUCH : Contribution à l'étude de rigidité musculaire - HENRI CLAUDE & HENRI EY : Evolution des idée sur l'hallucination - FERDINAND MOREL : Les hallucinations monoculaires du délirium trémens - MARCEL DAVID & PIERRE PUECH : Hallucinations et méningiomes de la petite aile du sphénoïde - JEAN LHERMITTE : L'hallucinose pédonculiare - HENRI EY : Les "Etudes sur l'hallucination" de Pierre Quercy - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre.

Couverture rigide. Condition: bon. R200031024: 1935. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 797 pages en 2 pagination ( 2 tomes). Plats jaspés. Nombreuses photos en noir et blanc. . . . Classification Dewey : 619.89-Psychiatrie.

Couverture rigide. Condition: bon. R200031025: 1934. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 782 pages en 2 pagination ( 2 tomes). Plats jaspés. Nombreuses photos en noir et blanc. . . . Classification Dewey : 619.89-Psychiatrie.

Couverture rigide. Condition: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 629 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : JACQUES LACAN & LEVY-VALENSI & MEIGNANT : Roman policier : du délire type hallucinatoire chronique - Santin-Carlos ROSSI (de Montevideo) : A propos de certains états d'aliénations curables simulant la schizophrénie - JEAN LHERMITTE & KYRIACO : L'hémorragie cérébrale massive consécutive au ramollissement cérébral thrombosique - STOCKER : ¨psychologie de la schizophrénie - AUGUSTE WIMMER : Considérations médico-légales sur les paralytiques généraux guéris par la malariathérapie - EDWARD FLATAU : Le méningite tuberculeuse chronique diffuse - MARINESCO : Nouvelles recherches sur les plaques séniles - HENRI CLAUDE & HENRI BARUK : L'épreuve du somnifene dans la catatonie - NATHAN : L'idée de laideur - MARC SEREJSKI : Une forme particulière de maladie héréditaire familiale - LUDO VAN BOGAERT & RENE DELBEKE : Le problème général des crises oculogyres au cours de l encéphalite épidemique chronique - HENRI CLAUDE : Epilepsie et alcalose - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre, dans lequel il rend un vibrant hommage à son maître Henri Claude, décédé le 29 novembre 1945, à l'âge de 76 ans, non sans avoir rappelé brièvement l'histoire de la revue " La revue L'Encéphale comptait, à partir du 20 décembre 1906, trois directeurs : Antheaume, F. Raymond et Henri Claude.

Couverture rigide. Condition: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, paginé 561-1026. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : La récension critique de la thèse de doctorat de JACQUES LACAN par son condisciple et ami à Sainte-Anne, HENRI EY : Ce dernier analyse "De la psychose paranoïaque dans ses rapports avec la personnalité" (Le Francois 1932) aux pages 851-856. C'est la plus importante analyse de la thèse de Lacan au moment de sa parution - - - - - HENRI CLAUDE & HENRI EY : Hallucinose et hallucinations les théories neurologiques des phénomènes psycho-sensoriels - KOURETAS & Ph. SCOURAS (d'athènes) / Sur un trouble particulier du sommeil le cauchemar - HENRI CLAUDE & HENRI BARUK & R. PORAK : Sommeil cataleptique et mise en train psychomotrice volontaire : étude physiologique et pharmacodynamique au moyen de l'érrgographe de Mosso - PIERRE PRENGOWSKI : Sur le traitement des psychoses non-organiques - JEAN LHERMITTE : La neurobiologie de l'hallucination d'après Raoul Mourgue - PAUL MEIGNANT : Les réflexes conditionnels - S. NACHT : La structure inconsciente de quelques psychoses - - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre.