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Published by sans éditeur, Lausanne, Genève, 1751
Lausanne, Genève, sans éditeur, 1751.In-12 de (1) f. blanc + faux titre + X dont titre et épître + (12) ff. de planches hors-texte + 183 pp.+ (1) f. blanc.Plein veau, dos lisse orné de caissons et fleurons dorées, pièce de titre rouge, triple filet d'encadrement sur les plats, tranches rouges. Reliure de l'époque. Coiffe inférieure frottée, coins légèrement émoussés, marques noires sur le premier plat. Intérieur très frais avec de rares piqures en début et fin d'ouvrage. Édition bien complète de toutes ses planches qui viennent documenter la fameuse procession (char de la compagnie, sceau en cire rouge, bâton, étendards, tenues portées dont veste, bonnet et chapeaux).Bel exemplaire de cette référence sur le sujet de la société festive et carnavalesque dijonnaise appelée la Mère-Folle ou infanterie dijonnaise.
Published by Sans Mention, Lausanne & Genève, 1751
Seller: Librairie FAUGUET, Marseille, France
In-12 ( 175x110 mm ) demi-veau fauve, titre doré sur pièce de maroquin noir, dos à 5 nerfs, filets dorés sus et sous les nerfs.( Reliure vers 1860 ).183 pages. 12 planches gravées.Histoire de son origine. Histoire des réjouissances qui se faisoient autrefois en Bourgogne & ailleurs, sous le nom de Mere-Folle, Gaillardons, etc. Anciens.
Published by A LAUSANNE & à GENEVE, 1751
Couverture rigide. Condition: bon. RO80095258: 1751. In-16. Relié plein cuir. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 182 pages. 10 planches de gravures, en noir et blanc. Relié plein veau. Tranches rouges. Pièce de titre. Titre et caissons dorés sur le dos à 5 nerfs. Mors légèrement fendus en coiffes, et frottés. Quelques épidermures. Manques sur les pages de garde. Page de titre consolidée. . . . Classification Dewey : 940.1-Moyen-Age.
Couverture rigide. Condition: Bon. petit, [2]-X-183 pp., 12 pl. A Lausanne & Genève, s. n, 1751, in-8, petit, [2]-X-183 pp, 12 pl, Veau glacé blond de l'époque, dos lisse et fleuronné, pièce de titre rouge, tranches rouges, Seconde édition, posthume, avec figures réduites. L'auteur, érudit bourguignon, présente ici la populaire fête médiévale des fous, dérivée des Saturnales païennes, organisée par certaines églises entre Noël et l'Epiphanie. Cette parodie de cérémonie religieuse était l'occasion d'interpréter des chansons licencieuses et de manger et boire sur l'autel transformé en buffet. En seconde partie, il publie un certain nombre de documents historiques relatifs à la société de la Mère Folle de Dijon, instituée en 1381, à l'imitation de la Société des fous de Clève, et qui fut supprimée par Louis XIII. Cette étude d'ethnologie historique s'accompagne de douze planches en taille-douce qui illustrent les costumes, bannières, sceaux et sculptures utilisés par la compagnie de la Mère Folle lors de ses processions, quelques-uns faisant partie de la collection de l'auteur. Jean-Bénigne - ou Jean-Baptiste - Du Tilliot (1668-1750), "curieux philologue" (Oberlé), occupait la charge de gentilhomme ordinaire du duc de Berry. À la mort de ce dernier, il s'établit à Nuits-Saint-Georges ; il avait amassé une importante collection d'objets d'art et d'archéologie, présentée dans un cabinet de son hôtel particulier. Sa monographie sur la fête des fous est le seul de ses ouvrages qui a été publiée : il parait, pour la première fois, au format in-4 en 1741 (Lausanne, Genève, Marc-Michel Bousquet). Ex-libris de Jean Rouché. Caillet 3475. Cohen-Portalis, 180. Dorbon 1431. Oberlé, Fastes, 543.
Published by Lausanne & Genève, 1751
In-12, plein veau marbré, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge, tranches mouchetées, roulettes sur les coupes (reliure de l'époque), X + 183 pp Edition en petit format de cet ouvrage très intéressant (publié pour la première fois en 1741 en format in-4°) sur une coutume "extravagante". La première partie explique en quoi consiste la fête des fous proprement dite, la seconde partie présente certaines confréries telles que la Mère-Folle de Dijon et quelques textes y afférents Ouvrage illustré d'une vignette de titre sur bois et de 12 planches hors texte gravées sur cuivre par N.-B. de Poilly, et relatives à la Compagnie de la Mère-Folle de Dijon Oberlé-Fritsch 545 (pour l'édition originale de 1741); Cohen 341; Sander 595 Ex-libris manuscrit ancien; ex-libris de Frédéric Rousset. Reliure épidermée, petits trous de ver.
Publication Date: 1741
Book
Lausanne & Genève, chez Marc-Michel Bousquet & Compagnie, 1741, 4° (cm. 27,5 x 21,5) legatura coeva piena pelle, dorso a sette nervi con titoli e fregi dorati, tagli rossi, frontespizio stampato a due colori con vignetta calcografica e motto ?Stultorum numerus est infinitus?, pp. VI-112 con dodici belle tavole calcografiche fuori testo (così completo), una grande testata e un grande capolettera xilografici. La pagina 112 è erroneamente numerata ?68? Difetti (alcune spellature e sbucciature) e tracce di restauro alla legatura (solida); vecchia gora di piccole dimensioni al piede delle cc. 2-4; carta leggermente e uniformemente ingiallita; ma bella copia, con amplissimi margini. Edizione originale. Caillet, 3475: ?La seconde partie renferme des détails intéressants sur la Confrérie de la Mère-Folle? de Dijon?; Dorbon-Ainé, 1431 (ma seconda edizione): ?Intéressant ouvrage sur la ?Societé du Fou? établie à Clèves en 1381 et qui essaima un peu partout en France: Mère Folle de Dijon, Abbé des Conards d'Evreux, et autres fetes des foux qui étaient célébrées dans différents églises?.
Seller: LAM (Livres Anciens Et Modernes), MONTPELLIER, France
Association Member: ILAB
Lausanne, Genève, Marc-Michel Bousquet, 1741. In 4°, veau marbré de l?époque, VI-112 pp., avec 12 planches gravées en taille-douce, veau marbré de l?époque, dos à nerfs, tranches rouges (reliure de l'époque). Bon exemplaire. Edition originale, non mise dans le commerce, et notablement plus rare que l'édition in 12° parue à la date de 1751. Erudit bourguignon, Jean-Baptiste Du Tilliot (1668-1750) signe là un des premiers travaux de ce que l'on pourrait appeler de l'ethnologie historique, en se plongeant dans les coutumes médiévales, encore très vivantes au début du XVIIème siècle, qui assignaient un jour de l'année à des réjouissances désordonnées où s'inversaient les critères ordinaires et les valeurs sociales. Le point de départ de son étude lui fut fourni par les traditions sur la Compagnie de la Mère-Folle de Dijon.