Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent généralement télécharger une copie gratuite scannée du livre original (sans les coquilles) auprès de l'éditeur. Non référencé. Non illustré. 1862 edition. Extrait: ...une liberté dont la jouissance trop prolongée augmenterait, comme nous le verrons, les difficultés de l'affaitage. N faut alors les prendre avec un filet ou un piége, qui ne les expose pas à se blesser. Pour réussir, on attire les oiseaux aux heures du pât, à l'endroit même où ils ont l'habitude de venir le prendre chaque jour; ils ne sont pas encore assez sauvages pour éviter le piége qu'on leur tend; beaucoup sont même assez familiers et se laissent facilement approcher. Il n'est donc pas nécessaire d'insister davantage sur une opération qui ne demande qu'un peu d'adresse et d'intelligence. Tous les Faucons niais, au moment où on les prive de la liberté, ne sont pas également dociles; aussi traite-t-on les plus rétifs comme s'ils avaient été pris sauvages à l'état de branchiers, et les moyens que nous indiquerons en son lieu et qui sont employés pour ces derniers, leur sont applicables. Le Faucon niais étant assez fort pour recevoir les premières leçons, il faut: I lui mettre les jets qui servent à le tenir à la main, l'habituer graduellement à la vue des hommes, des chiens, des chevaux, des voitures, aux bruits divers qu'il pourra entendre, et les porter souvent sur le poing. Il faut, dans tous les exercices qui vont suivre, éviter les mouvements trop brusques, les impatiences, et ne pas oublier d'approcher l'oiseau toujours doucement, en avant, et en lui parlant; 2 le forcer à sauter lui-même du bloc sur le poing, à l'appel qu'on lui fait. Pour obtenir ce résultat, on profite de sa faim, et on lui fait faire cet...
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