Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent généralement télécharger une copie gratuite scannée du livre original (sans les coquilles) auprès de l'éditeur. Non référencé. Non illustré. 1861 edition. Extrait: ...1619, avec la condition que les bâtiments qui pourraient y être construits n'excéderaient pas une hauteur de 16 mètres. Le couvent des Carmélites, dont la nue-propriété a été cédée a la ville par l'Etat en 1810, est devenu une caserne, et l'église a été convertie en prison militaire. Le génie militaire, qui en a l'administration, a fait démolir, il y a environ vingt ans, un joli clocher en pierres de taille, percé de deux fenêtres sur chaque faces, et surmonté d'une gracieuse flèche en ardoises à huit pans. Le charmant portail de l'église est l'œuvre d'un Dijonnais, Nicolas Tassin, architecte et auteur de divers ouvrages et cartes de géographie. Sa hauteur totale, qui est de 18 mètres 26 centimètres, depuis le pavé de la cour jusqu'au sommet du fronton triangulaire qui le couronne, sur une largeur de 8 mètres 23 centimètres, est divisé en trois étages d'ordres différents: celui du bas est d'ordre ionique, le second d'ordre corinthien, et le plus élevé d'ordre composite en forme d'attique. Il est orné de cinq statues placées dans des niches: celles du bas représentent le prophète Elie, que les Carmes regardent comme leur fondateur, et sainte Thérèse, l'amie et la compagne d'Anne de Jésus de La Lobère, fondatrice du couvent; celles du premier étage, la sainte Vierge tenant l'en fant Jésus et saint Joseph; enfin, celle de l'attique, Jésus-Christ, la tête nimbée de rayons. § IX. Les Bernardines ou Eglise Sainte-Anne. L'abbaye des religieuses de Tart...
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